Lucy Davis
La jeune génération talentueuse
Lors d’une journée d’exception, qui s’est déroulée dans le cadre choisi des Ecuries d’Ecaussinnes où elle s’entraîne à l’année, la jeune championne Lucy Davis s’est prêtée au jeu du glamour avec la participation de deux marques iconiques - Longines et Porsche. H l’y a rencontrée.
Il y a chez elle un mélange d’audace et de contrôle, une sorte de cocktail – ou plus exactement d’alchimie – qui signe son regard sur la vie et son attitude face au saut d’obstacle. A moins de 25 ans, elle dégage une solide autorité naturelle, que vient tempérer un sourire avenant et une manière d’être empreinte de beaucoup de simplicité. Universitaire diplômée d’un Baccalauréat en Architecture de l’Université de Stanford , cette jeune Américaine, née à Los Angeles en 1992, a découvert l’Europe pour la première fois à l’âge de 17 ans, en venant pour s’y entraîner et y monter en concours durant l’été. Depuis lors, elle a partagé son temps entre sa Californie natale et le Vieux Continent.
Apprentissage et compétitions
Et de fait, Lucy Davis incarne l’essence même du jeune talent. Au palmarès de sa déjà belle carrière, on dénombre de nombreux podiums, dont entre autres la médaille d’argent du saut d’obstacles par équipes, remportée avec Kent Farrington, Beezie Madden et McLain Ward aux Jeux Olympiques d’été de 2016 à Rio de Janeiro. A-t-elle toujours aimé les chevaux ? « Ma mère adorait monter à cheval, c’était un hobby très important pour elle, et je l’ai accompagnée aux écuries depuis ma petite enfance. Il paraît que je me comportais très bien », sourit-elle. Outre ce goût particulièrement prononcé pour l’univers équestre, Lucy Davis a toujours eu le sport dans le sang : soccer et football faisaient partie des compétitions qu’elle aimait aussi disputer. Jusqu’au moment où elle a fait le choix de se concentrer sur ce qu’elle préférait : le saut d’obstacles. Une décision très cohérente pour elle : « J’aime travailler avec les animaux. C’est stressant parce que parfois imprévisible, mais tellement gratifiant aussi, dans le sens où c’est une discipline qui permet de toujours apprendre plus et s’améliorer ». Une forme d’apprentissage qu’elle apprécie entre tous. Et qu’elle pratique au quotidien sur une demi-douzaine de chevaux.
La compétition représente un moment de concentration exclusive et totalement focalisée sur le moment présent. Il y a aussi une complicité induite extraordinaire avec le cheval. C’est une sensation très spéciale qui m’apporte énormément.
Il s’appelle Barron
Hongre SBS de 13 ans (par For Pleasure x Nabab de Rêve), c’est son cheval préféré, celui avec lequel elle aime spécialement concourir. Et outre cette monture de prédilection, acquise en Belgique, elle monte également 5 autres chevaux de renom. « Barron est mon favori », avoue la jeune femme. « Il constitue en quelque sorte un package idéal en étant à la fois courageux et attentif, et en plus il possède à mes yeux une personnalité extraordinaire, particulière, très sensible, que j’apprécie beaucoup. Il a des attitudes qui nous causent souvent du stress mais nous font beaucoup rire ! », résume-t-elle. Le nom qu’il porte n’est du reste pas le fruit du hasard. « Il s’appelle comme cela en hommage à mon Grand-Père, qui est mon modèle dans la vie ». Pas moins que ça… Ces quelques mots en disent long sur le sens des valeurs de la jeune championne : son aïeul - qui fut lui-même agent de jockeys - lui a non seulement inculqué l’exemple de la volonté et de la pugnacité, mais aussi de la joie de vivre et de la reconnaissance des petits et grands bonheurs qui jalonnent la vie. « Il a toujours été très sportif, par exemple à l’université il faisait également partie des équipes de football et de baseball, et il m’a montré comment la passion pour ce que l’on fait est liée à la réussite ». Et aujourd’hui, s’il est retraité, il assiste très fréquemment aux compétitions auxquelles participe sa petite-fille.
Un endroit stratégique au cœur de l’Europe
« Etre en résidence ici au printemps et en été, c’est parfait pour participer aux compétitions européennes », précise la cavalière. Ici ? Oui, à Ecaussinnes, au sud de Bruxelles, dans la province de Hainaut. Et plus précisément aux Ecuries d’Ecaussinnes, un lieu hors du commun idéalement situé au cœur de l’Europe, et qui abrite certains parmi les meilleurs chevaux du monde, entraînés quotidiennement par des équipes de professionnels de renom. Dans le cadre d’un partenariat à long terme, le champion olympique canadien Eric Lamaze, notamment, y a emménagé avec son équipe, ses élèves et l’ensemble des Torrey Pine Stables. Une belle occasion aussi pour la jeune cavalière d’y expérimenter une fructueuse collaboration avec son équipe. « Etre accueillie dans cet endroit qui comporte toutes les facilités de localisation et d’espace intérieur et extérieur, tout en pouvant travailler avec les chevaux dans un véritable esprit d’équipe et de synergie, c’est fabuleux », s’enthousiasme-t-elle.
Un engouement pour les Longines Masters
Si ces écuries constituent un berceau historique de l’élevage, de la sélection et de la valorisation de jeunes chevaux ainsi que de l’Ecaussinnes Academy, c’est également dans celles-ci que sont installés le siège et les équipes d’EEM, à l’origine de la formation de la fameuse série des Longines Masters. Cette trilogie intercontinentale se déroulant sous la bannière « We Ride The World », a été créée par la société sous la houlette de Christophe Ameeuw, qui en est à la fois propriétaire et organisateur. Et pour sa troisième saison, qui débutera à Paris en automne prochain, Lucy et Barron seront présents. « C’est un très bel événement à vivre et à partager. Il s’adresse à tout le monde, pas seulement aux cavaliers ». Un rendez-vous à ne pas manquer donc, et une aventure particulièrement palpitante à suivre.
Pour les belles cavalières
D’un design audacieux qui n’enlève rien à l’élégance affirmée - une véritable signature de leur identité -, les montres de la collection Equestrian puisent l’inspiration de leurs formes et de leurs matières à la source d’éléments symboliques propres à l’univers équin. Un bel hommage de la marque au sablier ailé envers la passion qu’elle voue de longue date aux sports équestres.
Longines, Equestrian Collection.
Mouvement à Quartz, Calibre L178. Fonctions heures, minutes, petite seconde à 6 h. Boîtier acier ovale, cadran argenté. Tour d’heures : 12 index diamants. Aiguilles en acier bleui. Bracelet acier avec fermoir déployant triple sécurité et mécanisme d’ouverture actionné par des poussoirs.
Inventer l’avenir
Sans l’audace, il n’existerait rien d’autre que le passé. Et Porsche ne serait pas Porsche. Car pour réinventer la voie à suivre, il faut agir différemment et rompre avec les conventions. La nouvelle Panerama en témoigne. En associant des éléments opposés en apparence - performance et confort, dynamisme et efficacité ou encore travail et famille – et tout en restant fidèle à ses racines avec le démarreur à gauche et le compte-tours au centre, cette nouvelle génération signe une fois encore l’originalité signée Porsche.
Porsche Panamera 4 E-Hybrid.
Puissance mot. Comb. : 330 ch (243 kW). Accélération de 0 à 100 km/h : 4,6 s avec le Pack Sport Chrono. Vitesse maximale sur circuit : 278 km/h. Consommation / Emissions* Cycle mixte (l/100 km) : 2,5. Emission CO2 g/km (cycle mixte) : 56. Autonomie électrique quotidienne type : 51 km. Consommation électrique en cycle mixte, en kWh/100 km : 15,9.
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